Echos des mobilisations du 31 mai et 1er juin à travers le pays
A Besançon, nous étions plus de 200 à manifester dans les rues ce 31 mai pour l'augmentation des salaires dans le secteur social et médico-social et 1251 signatures de notre pétition ont été...
ce matin 31 mai, plus de 250 dans les rues de Besançon... sous le soleil !
un parcours qui nous a conduit devant le CD25 où nous avons rappelé l'engagement du département, aujourd'hui encore sans suite !! l'esquive de nos employeurs, avec en tête d'hypocrisie l'AHS FC...
et une halte devant la préfecture pour rappeler nos exigences. Notre secteur est indispensable à la société, tous les collègues sont indispensables à son fonctionnement !
quelques prises de paroles, présence de collègues de Handy Up 70, étapes Dole, la Fondation plurielle, l'ADDSEA avec une forte mobilisation de l'AEMO mais aussi pour l'AHS FC, de l'IME l'Eveil, du DMNA du DAHIS avec des collègues administratifs, des collègues ouvriers..et bien d'autres
avec les manifestants de nombreux grévistes sur le secteur, des services fermés !!
à vos témoignages...
la pétition circule toujours.. on lâchera rien !!
demain, mercredi 1er, nous nous retrouvons à 13h30 devant la préfecture pour remettre les pétitions et dire haut et fort nos exigences de justice sociale !!
Dans le cadre des journées de mobilisation du 31 mai et du 1er juin dans le secteur social et médico-social, nous étions plus de 200 à manifester ce mardi 31 mai dans les rues de Besançon. Une nouvelle occasion de rappeler nos principales revendications, à savoir :
– 300 euros net d’augmentation des salaires intégrant les 183 euros mensuels du Ségur, sans contrepartie, pour tous les personnels du secteur social et médico-social (agents administratifs, personnel ouvrier, socio-éducatif, de soin, Ass Fam, cadres, etc.) et quelque soit le financeur (ARS, Etat, Départements, etc.)
– La défense de l’ensemble de nos droits garantis par nos conventions collectives (grilles de salaire basées sur l’ancienneté et les diplômes et non sur les critères subjectifs des directions, congés trimestriels, maintien de rémunération en cas d’arrêt maladie, majoration dimanches et jours fériés, etc.)
– L’amélioration de nos conditions de travail pour permettre un accueil et un accompagnement de qualité aux enfants, adolescents et adultes qui nous sont confiés.